Archiconfrérie de
Ieschouah
L'ORIGINE
Les pratiques spirituelles de l'archiconfrérie remontent aux premiers chrétiens d'Égypte, les pères du désert. Ce que fut nommé plus tard, la Rose-Croix d'Orient trouve là sa véritable source.
Giovanni Pico della Mirandola (1463-1494), Heinrich Cornelius Agrippa (1486-1535), Pic de la Mirandole Johannes Reuchlin (1455-1522), Heinrich Khunrath (1560-1605) furent parmi les kabbalistes de la Renaissance qui définirent les aspects doctrinaires de la tradition.
Les mystiques chrétiens que furent Saint Jean Cassien, le frère Guigues 2 le chartreux, ou encore Saint Ignace de Loyola font partie de cette lignée à laquelle l'archiconfrérie se réfère dans ses pratiques mystiques.
Plus récemment, Papus établit une synthèse unique entre la rose-croix, le martinisme qu'il inventa et le Maître Philippe de Lyon qui marqua son existence. Quelques années plus tard certains religieux, évêques et patriarches de l'Église Gallicane furent associés à cette lignée. C'est ainsi que cette succession assura une transmission continue de l’autorité et des pouvoirs sacerdotaux et occultes rattachés à Ieschouah. C’est elle qui est présente dans l’Archiconfrérie de Ieschouah. Il convient de ne pas la comparer à des créations martinistes plus récentes ou à des spiritualités chrétiennes ne connaissant pas les clés occultes de la kabbale chrétienne comme c'est le cas dans la plupart des Ordres néo-templiers.